
Deux ans déjà que Sadek nous a quitté.
Je lis un de ses livres en ce moment :
« Il désirait voir pour apprendre à ne faire aucune concession à la mort,
ni même à ce que généralement, l’on croit être la vie. »
Journaliste, poète et ecrivain, Sadek était aussi un mélomane et un musicien passionné de chaâbi.
J’ai toujours en tête sa très belle interprétation de « Babor ya Babor » sur une scène en plein air à Orly.
J’aimerai bien d’ailleurs retrouver le texte de cette chanson dont on a oublié l’auteur.
3 réflexions au sujet de « Sadek Aïssat. »
c’est avec un grand chagrin que j’écrie ce commentaire juste pour vous dire que sadek aïssat (mon encle)est toujours vivant dans mon coeur et j’ai pas oublié ni son image ni sa voie il est toujours parmis nous ellah yerahmou birahmatihi
tu nous manques
Mon cher Oncle,car il l’etait….
Ta guitart chante,tes echarpes dansent,ta poesie lente,ta niece a qui tu manques.
Paix a ton ame et que dieu pardonne.
Juste pour dire que j’aime bien lire quand ça me prend les petites pensées d’El-Ho.
Ce matin j’ai égayé mon réveil en écoutant « Hiya » en boucle ; il fait beau à ma fenêtre et je repense à la tête de mes élèves la première fois que je leur ai passé ce morceau en classe.
Merci Cheikh Sidi bémol !
dounya
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